Cette Institution séculaire appartenant à la même famille depuis quatre générations, a été surnommée « Le phare d’Esquirol ». Elle est, il est vrai, ancrée solidement à cette Place du centre-ville depuis plus d’un siècle. Ainsi, tous les chemins mènent au Père Léon et sa Brasserie a été le havre de nombreuses figures de talent : héros de l’aviation, écrivains, comédiens, musiciens…Un certain Claude Nougaro aimait s’accouder à son comptoir centenaire, face à son célèbre mur de bouteilles. Deux témoins historiques des lieux, sauvegardés lorsque la Brasserie comme l’Hôtel, ont fait peau neuve en 2012, alliant dès lors, force de tradition et dynamique de modernité. Des générations de toulousains et de gourmets du monde entier, amoureux d’une cuisine authentique à base de produits de qualité, ont succombé aux délices de sa table. Habitués ou de passage, on s’y arrête le matin, boire un café et lire son journal avant d’aller travailler ; pour déjeuner ou dîner en famille, entre amis ou collaborateurs. Aux Happy Hours, à l’ombre de la terrasse, on commande un verre de la Cuvée Père Léon et une « assiette Canaille » de charcuteries régionales. Quelle que soit l’heure, la qualité et le Sud-Ouest chantent au palais. On revient toujours, fidèle aux incontournables de la Maison : Tête de veau sauce Ravigote, Père Leon’s Burger, Cassoulet toulousain, Magret de canard à la Gasconne, servi en cocotte sur son lit de pommes de terre aux oignons ou Pavé de Cabillaud juste snacké, concassé de tomates au basilic et pommes acidulées… Les salades sont colorées et généreuses. La carte propose aussi des mets végétariens comme le Veget’s Burger ou le Feuilleté gourmand de légumes et son œuf parfait... Sur des notes salées ou sucrées, entrer au Père Léon, c’est entrer au cœur des saveurs du Sud-Ouest et de l’Art de vivre à la Toulousaine.